Pour sortir de la crise, qui n'en est pas une, mais la conséquence d'un plan calculé par certains, les populations s'en remettent aux mêmes personnes qui ont provoqué sciemment le problème.
Apparemment choisir d'autres partis semble impossible. Pendant combien de temps les gens continueront-ils encore à penser par presse interposée ?
Les gens estiment penser par eux-mêmes et répètent en chœur, je devrais plutôt dire, psalmodient en chœur, les litanies professées par les grands médias.
La seule solution pour sortir de notre marasme économique est de simplement éliminer les partis politiques. En leur retirant nos voix, nous affaiblissons les geôliers. Les hommes politiques sont cooptés. Ils sont choisis par les échelons supérieurs et présentés aux populations comme les seuls hommes clés possibles.
Leur retirer nos voix n'est pas s'abstenir mais voter autrement en attendant de pouvoir mettre en place une assemblée constituante.
Les actions pour le moins négatives du gouvernement actuel mené par un premier ministre condamné il y a quelques années pour favoritisme et amenant, dans la foulée, un ministre du budget exemplaire pour sa duplicité, ne doit pas nous faire oublier les agissements du gouvernement précédent dont les affaires sont répertoriées de façon non exhaustive par Agoravox. Voir le lien
Notre cher premier ministre est aussi acoquiné avec le responsable, (mais non coupable), Laurent Fabius, auteur de la non-imposition sur la fortune des œuvres d'art. (Neveu et cousin de propriétaires de galeries oblige, mais honnit soit qui mal y pense)
Avons-nous déjà oublié qu'en 1991, le Centre national de transfusion sanguine distribuait aux hémophiles des lots de sang contaminés par le sida. La moitié des hémophiles ont été contaminés par le VIH. Beaucoup en ont morts. Cela s'est terminé par de trop nombreuses relaxes.
La marche forcée de Vinci pour le Ayrault port de Notre Dame des Landes est une autre démonstration de la collusion avec la finance (ennemie intime de ce cher Président Hollande), sur laquelle nous pouvons mettre des visages, ceux des politiques qui, depuis des années, nous trahissent et dont les noms apparaissent dans les dossiers qui trainent dans les artères des palais de Justice de France et de Navarre.
Ces affaires politico-financières démontrent le niveau insensé de corruption des élus et des dirigeants nationaux, toute obédience confondue.
Nous avons voté pour des représentants, mais sommes-nous des truands ayant voté pour une Camorra politico-financière ?
Nous avons, parait-il, les représentants que nous méritons.
Nous avons voté de bonne foi pour des corrompus, des escrocs. L'affaire Cahuzac en est un bel exemple. Et l'affaire en cours concernant le bras droit de notre ministre de l'Intérieur, nous montre le chemin que prend le parti socialiste qui, actuellement, est présidé par un repris de justice condamné dans l'affaire de la MNEF.
Aux prochaines cantonales et européennes, nous devrons voter.
Alors votons pour éliminer les partis corrompus, en choisissant des petits partis qui, eux, ne risquent pas d'être des répliques de républiques socialistes soi-disant exemplaires et irréprochables.